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Aide à l'immobilier d'entreprise
Soutenir les projets immobiliers des entreprises.
- Dépenses d’acquisition de locaux existants (hors frais d’acte) ;
- Dépenses de construction de bâtiment ;
- Dépenses d’extension de bâtiment existant (dont au moins une partie de la surface est déjà occupée par une activité éligible) ;
- Travaux de gros œuvre dans le cadre d’un projet global.
Ne sont pas éligibles :
- achat de terrain ;
- dépenses liées à la démolition d’un bâtiment ;
- acquisition d’un local à vocation économique propriété d’une collectivité et qui a fait l’objet d’aides publiques lors de sa construction / son extension, et dont le projet ne prévoit pas d’investissements de gros œuvre destinés à un changement d’activité exercée dans le local ;
- pour les travaux de gros œuvre, frais liés à de l’auto-construction et frais issus de travaux exécutés par un prestataire non couvert par une assurance professionnelle (les travaux réalisés par le porteur dont c’est le cœur de métier sont éligibles).
TPE et PME inscrites au Registre du Commerce et des Sociétés ou au Répertoire des Métiers.
Ne sont pas éligibles :
- auto-entrepreneurs ;
- entreprises en difficulté ;
- entreprises relevant des secteurs de l’agriculture, l’aquaculture et la pêche.
Subvention représentant 5 % des dépenses éligibles. Un taux bonifié à 10 % sera appliqué pour les projets présentant un impact environnemental significatif. La prise en compte d’un bonus environnemental sera examinée sur sollicitation directe du porteur en cas de lien avéré avec la stratégie et les fiches actions du Plan Climat Énergie Territorial Loue Lison.
Le plafond de l’aide octroyée par la communauté de communes est fixé à 5 000 €
par projet, 10 000 € en cas d’application du taux bonifié.
Un bénéficiaire ne peut pas cumuler plusieurs aides de la Communauté de Communes Loue Lison, qu’elles soient issues du même dispositif ou de deux dispositifs différents, hormis les dispositifs spécifiques à la Covid-19.
Ce dispositif est accordé dans le respect du régime européen d'exemption par catégorie "de minimis" qui limite à 200 000 € sur 3 exercices consécutifs le montant total d'aides publiques accordé par entreprise.